Avoir la boule au ventre au travail : un signe à ne pas négliger

Avoir la boule au ventre au travail est loin d’être une sensation agréable et peut même être alarmante. Cela peut indiquer un malaise profond qui, s’il n’est pas traité, peut conduire à des conséquences graves telles que le burn-out. Il est donc essentiel de comprendre les causes de ce mal-être et les moyens de le gérer efficacement. Si ce symptôme est bien présent chez vous en ce moment, cet article vous donnera plusieurs solutions pour ne plus avoir la boule au ventre le matin, ainsi que des conseils pratiques pour tendre vers le bien-être au travail.

L’importance de comprendre son mal-être au travail

femme avec lunettes qui réflechit

Si vous ressentez actuellement une boule au ventre au travail, il est crucial de ne pas prendre cette situation à la légère. En effet, cela peut être un signe que quelque chose ne va pas dans votre vie professionnelle ou personnelle. Il est donc recommandé de chercher à comprendre les facteurs qui déclenchent cette sensation afin de prendre les mesures nécessaires pour améliorer votre situation.

Ainsi, vous pouvez vous poser les questions suivantes : est-ce un malaise récent ou persistant ? Revient-il régulièrement ? Quelle est la sensation précise que vous ressentez ? Cette boule au ventre s’accompagne-t-elle d’autres maux ? À quels moments de la journée survient-elle ?

Il est essentiel de noter tous ces éléments pour pouvoir mettre en évidence les causes de votre malaise. Gardez à l’esprit que cette boule au ventre peut être liée à votre situation professionnelle, mais également à des événements personnels ou à votre mode de fonctionnement.

Plus concrètement, cela peut être dû à :

  • une surcharge de travail ou des objectifs inatteignables avec des délais serrés et des attentes toujours plus élevées ;
  • des conflits avec les collègues de boulot, les supérieurs hiérarchiques, mais aussi dans le cercle familial ou amical ;
  • un manque de reconnaissance ou un désalignement entre votre métier et vos valeurs. Vous n’êtes pas en phase avec l’entreprise et les missions confiées ne vous intéressent pas ;
  • l’environnement de travail qui ne vous convient pas et dans lequel vous vous sentez angoissé, stressé. Le bruit, la chaleur, la lumière ou simplement l’ambiance générale qui vous met mal à l’aise ;
  • des situations personnelles difficiles à gérer : problèmes de santé, difficultés financières, perte d’un être cher, divorce ;
  • les événements extérieurs qui touchent la société en général, comme une crise économique ou politique. Cela vous procure du stress chronique et une incertitude quand à votre avenir professionnel ;
  • un blocage ou une peur ancrée en vous : peur de l’échec, du regard des autres, ne pas oser dire non, etc.

Dans certaines situations, le problème de boule au ventre au travail peut se régler facilement si ce symptôme est léger et isolé. En revanche, il nécessite un vrai accompagnement si le malaise persiste.

Si l’anxiété au travail est légère

femme anxieuse au travail

Pour diminuer le stress au travail et améliorer la qualité de vie, il existe plusieurs approches.

En voici quelques-unes.

Faire des exercices de respiration

Les exercices de respiration peuvent aider à calmer l’esprit et à réduire le stress. Par exemple, la respiration abdominale consiste à inspirer profondément par le nez, à remplir le ventre d’air, puis à expirer lentement par la bouche. Pratiquer la cohérence cardiaque permet de réguler le rythme cardiaque et d’apporter toutes sortes de bénéfices pour le système nerveux : meilleure concentration, apaisement immédiat, gestion des émotions, etc.

Se focaliser sur ce qui vous fait du bien

Prenez le temps de faire des choses que vous appréciez, que ce soit la lecture, la musique, la cuisine ou autre. Pendant ce temps, vous apprenez à lâcher prise et votre esprit se concentre sur la tâche à effectuer. Votre vie professionnelle n’existe plus à ce moment précis.

Tester diverses activités physiques

L’exercice régulier est un excellent moyen de lutter contre le stress et d’améliorer la santé physique et mentale. Essayez une nouvelle activité physique comme le yoga, la natation, la musculation ou la danse. Ce changement que vous intégrez dans votre vie vous apporte joie, bonheur et mieux-être au quotidien.

Revoir son organisation

Au travail, prenez le temps de mieux organiser votre temps de manière efficace en hiérarchisant les tâches selon leur importance. De même, essayez au maximum d’anticiper pour éviter de vous sentir surmené en cas d’imprévus. Sans oublier de planifier les pauses dans la journée.

Définir des limites claires

Savoir dire non est important pour éviter le surmenage et le stress inutile. Définissez clairement vos limites et apprenez à dire non aux demandes qui dépassent vos capacités. Refuser de temps en temps des dossiers à traiter ne fera pas de vous une personne moins appréciable professionnellement.

Apprendre à mieux communiquer avec les collègues

Savoir exprimer ses désaccords avec tact et diplomatie est fondamental lorsqu’il s’agit de communiquer. Empathie, écoute active, compréhension du point de vue des autres et respect sont donc essentiels dans le milieu professionnel.

Prendre soin de soi

Il est crucial de veiller à son bien-être en prenant soin de soi au quotidien. Pour maintenir une bonne santé physique et mentale, vous devez respecter les besoins fondamentaux de votre corps et de votre esprit, notamment en accordant une attention particulière au sommeil, à l’alimentation et aux moments de détente.

Lorsque la boule au ventre au travail s’accompagne d’autres symptômes

homme en discussion avec un professionnel
homme en discussion avec un professionnel

Mais que faire lorsque cette boule au ventre persiste et que d’autres symptômes apparaissent ?

Il est extrêmement important de savoir écouter son corps, ce sont des signaux d’alerte avant d’en arriver à la dépression.

Quels sont-ils ?

  • Douleurs musculaires
  • Maux de tête
  • Fatigue excessive et sensation d’épuisement total
  • Troubles de l’humeur, irritabilité
  • Troubles de l’appétit
  • Insomnies
  • Sueurs froides
  • Palpitations
  • Manque de concentration
  • Problèmes intestinaux

En parler à un professionnel

À ce stade, il est plus prudent de vous faire accompagner par un professionnel comme un coach ou un psychologue. Même s’il n’est pas toujours facile de se livrer et d’exposer sa vulnérabilité, il est important de ne pas rester silencieux. Attendre ne ferait qu’envenimer la situation et pourrait avoir des conséquences désastreuses sur votre vie professionnelle et personnelle.

Le professionnel pourra vous orienter vers les ressources appropriées et vous aider à faire face à votre situation.

Vous devez également en parler au médecin du travail qui jugera de la nécessité ou non de vous arrêter temporairement.

En parler à son employeur

Lorsque vous ressentez un profond mal-être avant d’aller travailler, le mieux est d’en parler au manager ou supérieur hiérarchique. Il est en effet impératif d’engager une discussion avec votre employeur en vue de résoudre les problèmes existants, car il est tenu de prévenir les risques pour les employés.

Son travail consiste aussi à écouter attentivement vos préoccupations et prendre des mesures appropriées pour atténuer votre mal-être.

À partir de là, il va vous proposer des solutions telles qu’un changement de poste, un changement de lieu de travail, un bilan de compétences ou une formation continue, selon le cas. Changer de métier ou évoluer en interne est en effet une issue possible en cas de niveau de stress intense au travail.

Gardez à l’esprit que l’employeur n’est pas censé voir que vous allez mal. Le tenir à l’écart de vos problèmes professionnels ne peut conduire à une résolution efficace.

Vous avez maintenant toutes les clés en main pour traiter le stress et dire au revoir à la boule au ventre au travail. De toute évidence, vous devez agir avant que la situation ne s’aggrave. Vous pouvez bien sûr compter sur votre employeur pour qu’il trouve une solution, mais vous pouvez aussi prendre les devants pour faire le point sur votre situation professionnelle. C’est justement ce qu’à fait Pierre avant sa reconversion professionnelle. Découvrez son histoire parmi les exemples de bilans de compétences pour savoir à quoi s’attendre.

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Je n’aime pas mon travail, je fais quoi ?

Depuis quelque temps, vous n’êtes pas heureux au travail. Vous ressentez des signes qui ne trompent pas : épuisement, stress, douleurs, charge mentale, manque de motivation. Vous songez parfois à quitter votre job et à changer de vie. Mais est-ce la bonne solution ? Car sortir de votre zone de confort vous effraie et c’est bien normal. Alors, on fait quoi ? “Je n’aime pas mon travail”, une préoccupation pour laquelle il y a des solutions.  

Pourquoi je n’aime pas mon travail ? La prise de conscience

pourquoi je naime pas mon travail la prise de conscience

La première des choses à faire si vous ressentez un mal-être au travail, c’est de comprendre pourquoi. Quel est le problème exactement ? 

Car derrière le manque de motivation, la fatigue et l’anxiété, se cachent une ou plusieurs raisons de vouloir quitter son travail. 

Parmi les difficultés majeures que vous pouvez rencontrer : 

  • Le salaire n’est pas à la hauteur de vos espérances. Que ce soit pour subvenir à vos besoins ou pour avoir de la reconnaissance.
  • La relation conflictuelle avec un collaborateur ou un manager génère du stress en vous.
  • Les horaires de travail ne correspondent pas à ce que vous aimeriez en termes d’équilibre vie pro-vie perso.
  • L’environnement de travail ne vous convient pas.
  • Le travail en lui-même vous ennuie et ne vous anime plus.
  • La charge de travail trop importante vous fait frôler le burn-out.
  • La vision de l’entreprise ne correspond plus à vos valeurs.
  • Une envie de changer de voie professionnelle parce que vous passez un cap dans votre vie.

Par ailleurs, il est important de vous demander depuis combien de temps vous vivez ce mal-être. Est-ce passager ou constant ? Est-il dangereux pour votre santé mentale ? 

Ces difficultés déterminent la façon dont vous allez aborder la situation actuelle et l’issue que vous allez prendre. 

Soyez honnête avec vous-même et ne minimisez pas vos souffrances au travail si elles existent. 

Exprimer son mal-être au travail

D’une manière ou d’une autre, vous devez exprimer vos émotions. Quelle que soit la raison pour laquelle vous n’aimez pas votre travail. 

Si vous gardez tout cela en vous, vous ne pouvez évidemment pas arranger la situation

Vous pourriez même l’aggraver. Dans le cas où votre travail serait source de souffrance, le risque d’épuisement sérieux est réel. Sans parler des conséquences sur votre vie privée. 

Car ne pas aimer son métier a forcément un impact sur la vie personnelle

Il est donc fondamental dans un premier temps d’oser communiquer face à une situation professionnelle qui ne vous convient pas. 

Parlez à vos proches

En parler autour de vous, à vos amis ou à votre famille vous fera le plus grand bien. C’est d’ailleurs souvent le premier réflexe que l’on a pour obtenir le soutien dont on a besoin.

Attention cependant à faire la part des choses entre votre ressenti personnel et les conseils de l’entourage. Même avec toute la bienveillance du monde, il est toujours délicat de soutenir quelqu’un dans les moments difficiles tout en restant objectif.

Echangez avec des personnes dans la même situation

Discuter avec des “compagnons de galère” pourrait bien vous aider. 

Vous pouvez ainsi vous tourner vers les forums ou réseaux professionnels (comme linkedin) sur lesquels de nombreux actifs partagent leur expérience.

Selon une étude Statista, 48 % des actifs français n’aiment pas ou plus leur travail. Vous devriez trouver du soutien. Et même obtenir des conseils avisés de personnes qui se disaient aussi “je n’aime pas mon travail” et qui réussissent aujourd’hui à être épanouies professionnellement. 

Consultez un professionnel de santé

Si vous sentez que vous êtes fragile moralement et/ou physiquement, parlez-en à votre médecin traitant, à la médecine du travail ou à un psychologue.

Si votre mal-être va au-delà de la simple appréciation de votre emploi, mais résulte d’une véritable souffrance n’attendez pas plus longtemps.

C’est d’autant plus urgent si vous êtes dans un état de stress chronique, dépressif ou si vous subissez du harcèlement.

Parlez à votre hiérarchie

C’est un échange que vous allez peut-être repousser… Pourtant c’est probablement l’action qui peut tout changer à votre situation

Parlez à votre responsable de votre ressenti. Évoquez ce qui ne va plus et pourquoi. Mais toujours avec tact

Même si vous subissez votre mal être depuis un moment, ne vous laissez pas emporter par votre agacement, lassitude, démotivation ou autres émotions. Si vous n’avez jamais communiqué clairement à ce propos, votre interlocuteur pourrait ne pas comprendre votre vive réaction. 

Vous devez faire en sorte d’être écouté et entendu. Pour cela, vous devez conserver une relation apaisée avec votre manager. Et vous pourriez être surpris des solutions que peut proposer une entreprise ! Voici ce qui pourrait se passer…

Tenter d’améliorer la situation au travail

tenter dameliorer la situation au travail

Si vous pensez que votre situation sur ce poste de travail peut s’améliorer et si vous en avez envie, vous devez essayer de régler le problème. 

Il serait en effet dommage de démissionner du jour au lendemain pour des problèmes qui sont résolvables. D’autant que les entreprises ont les moyens de répondre à certains de vos besoins.

Parmi les solutions envisageables, vous pouvez demander à : 

  • réorganiser votre temps de travail avec une partie en télétravail, par exemple ;
  • vous entretenir plus souvent avec les collègues pour une meilleure cohésion d’équipe ou organiser une team-building ;
  • disposer d’outils dernière génération pour vous faciliter le travail (et être plus productif par la même occasion) ;
  • déléguer certaines tâches ;
  • obtenir une promotion, en vous formant au préalable ;
  • négocier votre salaire.

Le dialogue permet de résoudre bien des problèmes. Il se peut que l’employeur n’ait pas conscience de votre mal-être. 

Mais si après lui en avoir parlé, la situation reste sans issue (ou si vous savez que le malaise est plus profond), il serait plus judicieux de partir

Démissionner ? Demander une rupture conventionnelle ?  Faire un abandon de poste ? 

Découvrez ici les solutions qui s’offrent à vous pour quitter son travail intelligemment.

Avant de prendre une décision, vous avez probablement besoin de sécuriser la suite de votre carrière. Le bilan de compétences et le dispositif fait pour ça ! C’est un accompagnement dédié à votre épanouissement professionnel, qui vous permet de construire un projet réaliste et réalisable à partir de vos besoins profonds. Découvrez comment retrouver le goût du travail

Faire un bilan de compétences : LA solution pour aimer de nouveau son travail

faire un bilan de competences la solution pour aimer de nouveau son travail
faire un bilan de competences la solution pour aimer de nouveau son travail

Qu’est-ce qu’un bilan de compétences ? 

Avez-vous pensé à faire un bilan de compétences ? C’est l’accompagnement idéal dans votre situation. Il vous permet de faire le point dans votre vie professionnelle. Les consultants bilan sont des professionnels qui savent vous écouter, vous entendre et vous apporter des solutions concrètes

L’objectif est d’y voir plus clair dans votre parcours et vos envies. À la fin, vous saurez quelle voie emprunter pour offrir une nouvelle impulsion à votre carrière.

Comment se déroule un bilan de compétences ? 

Il s’agit de plusieurs rendez-vous en tête à tête avec un consultant, d’une durée maximale de 24 heures. Ils peuvent se faire en ligne, en présentiel ou un mélange des deux (format hybride).

Ce dispositif est encadré par le Code du Travail et se compose toujours de trois phases : 

  1. La phase préliminaire pour cerner vos attentes.
  2. La phase d’investigation pour mieux se connaître, définir ses aptitudes et construire son projet professionnel.
  3. La phase de conclusion pour concrétiser son projet et établir son plan d’action.

Attention cependant, tous les organismes de bilan ne se valent pas. Choisissez une formule adaptée à vos besoins avec des étapes, des outils et des exercices définis selon votre parcours. 

Le bilan de compétences fait partie des actions de formations professionnelles éligibles CPF. Il y a également d’autres modalités de financement envisageables en fonction de votre situation comme Pôle Emploi. 

Profitez-en avant de quitter votre entreprise, car vous pouvez demander à votre employeur de le réaliser sur votre temps de travail. S’il accepte votre demande, vous pouvez même maintenir votre rémunération durant votre accompagnement. S’il refuse c’est une démarche que vous pouvez réaliser personnellement.

Avec Mon bilan de compétences by AKSIS, cette démarche est simplifiée et 100 % personnalisée. Vous avez le choix entre 4 formules qui nous permettent de répondre à toutes les situations. Vous aurez également accès à de nombreux outils, enquêtes métier, ressources et exercices pratiques grâce à notre plateforme exclusive AddViseo. 

Découvrez nos offres de bilan de compétences et arrêtez enfin de vous dire “je n’aime pas mon travail”.

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    Comment quitter son travail intelligemment ?

    Vous en avez marre du travail ? Vous aimeriez partir de l’entreprise mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Le rêve serait de pouvoir quitter son travail dans de bonnes conditions. Garder une belle relation avec ses collègues et son patron. Et toucher les allocations chômage, par la même occasion ! Pas de panique, il existe bien d’autres alternatives à la démission. Mon Bilan de Compétences vous fait le récapitulatif de toutes les solutions. À vous de passer à l’action !

    Quitter son emploi avec la suspension du contrat de travail

    quitter son emploi avec la suspension du contrat de travail

    Avant de penser à rompre le contrat de travail définitivement, vous pouvez effectuer la transition progressivement. En prenant un congé, notamment. Cela vous laisse le temps de réfléchir à votre avenir professionnel.  

    Le projet de transition professionnelle (PTP) 

    Idéal dans le cadre d’une reconversion, le projet de transition professionnelle vous permet de vous former à un métier tout en conservant votre emploi actuel. Il correspond à l’ancien CIF (Congé Individuel de Formation). 

    Avec l’accord de votre employeur, vous avez le droit de vous absenter de votre poste pour suivre une formation. Celle-ci n’est pas obligatoirement liée à votre activité. C’est l’occasion de faire un bilan de compétences ou une VAE. 

    Le PTP est accessible à tout salarié justifiant d’au moins 2 ans d’ancienneté, dont un dans la même entreprise.

    Le congé sans solde

    Vous voulez prendre le temps de réfléchir avant de mettre un terme à votre contrat ? Si vous avez quelques économies de côté, pensez au congé sans solde. 

    Ce congé n’est pas encadré par le Code du Travail, c’est donc un accord entre l’employeur et vous concernant toutes les modalités, y compris la durée. À moins que ce ne soit stipulé dans la Convention Collective. 

    Pendant toute la période du congé, vous n’êtes pas rémunéré. En revanche, vous pouvez percevoir un revenu si votre compte épargne-temps (CET) le permet.

    Un bon moyen de profiter de son temps libre pour voyager, se former ou même, travailler pour une autre entreprise (à condition qu’il n’y ait pas de clause de non-concurrence).

    À la fin du congé sans solde, vous retrouvez votre emploi.

    Le congé sabbatique

    Semblable en théorie au congé sans solde, le congé sabbatique vous permet de faire une pause professionnelle. Cela vous laisse le temps de prendre du recul et d’être sûr de vouloir changer de travail. 

    Sa durée légale est de 6 à 11 mois

    Pour en bénéficier, voici les conditions :

    • Avoir au moins 36 mois d’ancienneté dans l’entreprise (ou se référer à la Convention Collective).
    • Avoir travaillé pendant au moins 6 ans.
    • Ne pas avoir été en congé durant les 6 dernières années (projet de transition professionnelle, création d’entreprise et autre congé sabbatique).

    Le congé pour création ou reprise d’entreprise

    Vous avez pour projet de créer votre entreprise ? Ce congé est une excellente solution pour vous lancer sans prendre de risques. 

    En effet, ce congé s’apparente à un essai. Vous disposez d’un an maximum (avec possibilité de renouvellement) pour devenir entrepreneur

    À l’issue de ce congé, vous avez le choix entre quitter son travail ou reprendre son activité salariale. 

    Ça vous intéresse ? Envoyez votre demande à l’employeur si vous avez au moins 24 mois d’ancienneté dans l’entreprise. 

    À savoir : vous pouvez aussi demander à travailler à temps partiel pour vous consacrer à votre projet professionnel.

    Le congé maladie

    Il est tentant de demander un arrêt maladie à son médecin pour arrêter temporairement son travail. Est-ce une bonne idée ?

    Pas vraiment, sauf si bien sûr, vous vivez un réel mal-être au travail et que vous êtes sur le point de faire un burn-out.

    Autrement, cela risque plutôt d’envenimer la situation et l’ambiance avec vos supérieurs hiérarchiques. 

    Cette solution pour quitter son travail en douceur est à appliquer avec précaution.

    Partir de l’entreprise avec la rupture du contrat de travail

    partir de lentreprise avec la rupture du contrat de travail

    Votre décision de partir est mûrement réfléchie et vous ne souhaitez pas faire machine arrière ? Voici les solutions possibles pour quitter son travail intelligemment.

    La démission

    C’est la méthode la plus simple et la plus logique lorsque l’on pense à changer de travail en CDI. 

    Vous n’avez rien à justifier, seulement en informer l’employeur et respecter un préavis de 1 ou 2 mois dans la majeure partie des cas. Parfois, le préavis peut être dispensé.

    En CDD, la démission n’existe pas. Pour rompre le contrat avant la date prévue, vous devez avoir de bonnes raisons. Par exemple, avoir une promesse d’embauche en CDI dans une autre entreprise.

    Vous devez savoir que démissionner ne donne pas droit aux allocations chômage. Cependant, il est possible de toucher l’ARE (allocation de retour à l’emploi) dans plusieurs cas. 

    Découvrez-en plus sur les démissions qui donnent droit à l’allocation chômage.

    La rupture conventionnelle

    La rupture conventionnelle a plus que jamais le vent en poupe, avec des records battus en 2021. Près de 454 000 ruptures, soit une augmentation de 6,1 % par rapport à 2020

    Il faut dire que cette rupture de contrat de travail à l’amiable est avantageuse pour les deux parties :

    • Le salarié : droit au chômage et indemnité de départ
    • L’employeur : départ sans litige

    Mais il y a aussi des inconvénients :

    • Le salarié : période de carence pour toucher le chômage
    • L’employeur : indemnité de rupture conventionnelle à verser

    À noter : il n’y a pas de préavis en cas de rupture conventionnelle. 

    Vous êtes en CDI dans le secteur privé ? À vous de mettre les formes pour proposer la rupture conventionnelle à votre employeur. Car il peut refuser !

    S’il accepte, vous aurez alors un ou plusieurs entretiens où vous pourrez convenir d’un commun accord de toutes les modalités.

    L’abandon de poste 

    L’abandon de poste se traduit par une absence injustifiée ou un départ anticipé de l’entreprise

    Jusqu’à tout récemment, cette pratique permettait aux salariés de bénéficier des indemnités chômage sans faire de préavis. C’était donc une solution idéale pour eux en cas de refus de rupture conventionnelle de la part de l’employeur.

    Mais depuis fin 2022, l’Assemblée Nationale a voté de nouvelles règles concernant l’abandon de poste. Désormais, il est considéré comme une démission dans la loi “Marché du travail”. Un salarié qui fait un abandon de poste est donc “présumé démissionnaire” et ne peut être indemnisé par Pôle Emploi. 

    Sachez que ce procédé n’est pas sans risque puisque cela peut entraîner des conflits en interne allant jusqu’à la procédure judiciaire.

    La rupture suite à la faute de l’employeur

    Vous estimez que votre employeur est en tort et qu’il ne respecte pas ses obligations ? Vous pouvez avoir recours à la justice avec la prise d’acte ou la résiliation judiciaire. 

    Si les faits sont suffisamment graves, vous devez saisir le conseil des prud’hommes. À l’issue du verdict, la procédure donne lieu à un licenciement injustifié (sans cause réelle et sérieuse) ou à une démission.

    Quelle différence entre la prise d’acte et la résiliation judiciaire ?

    Lors de la prise d’acte, le contrat est immédiatement rompu par le salarié. Alors que pour la résiliation judiciaire, vous continuez à travailler pendant la procédure, sauf indication contraire du juge.

    Quitter son travail intelligemment : nos dernières recommandations

    quitter son travail intelligemment nos dernieres recommandations

    Quelle que soit votre ancienneté, il est toujours délicat de quitter son entreprise. Avant de choisir votre mode de rupture, voici nos dernières recommandations :

    • Commencer des recherches avant de quitter son travail. On sait ce que l’on perd, mais on ne sait pas ce que l’on trouve. Mieux vaut chercher des offres d’emploi en amont ou faire un bilan de compétences pour faire le point sur votre carrière.
    • Ne pas attendre la dernière minute pour changer de travail. Plus votre besoin de partir sera urgent et moins votre décision sera prise intelligemment. 
    • Rester professionnel jusqu’au bout. Il est dans votre intérêt d’exercer votre travail comme vous l’avez toujours fait. Tout comme garder une bonne relation avec vos collègues et votre patron. Le bouche à oreille dans le milieu professionnel, ça fonctionne.
    • Rester discret sur les réseaux sociaux. Inutile de clamer haut et fort votre intention de quitter votre travail, votre frustration ou les conflits existants. Le conseil est également valable par la suite.  

    Vous savez maintenant comment quitter son travail intelligemment. Pour la suite, avez-vous des projets ? Savez-vous vers quel métier vous orienter ? Si vous avez encore des interrogations, lisez cet article pour trouver sa voie professionnelle.

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      Marre de votre travail ? Voilà ce qu’il faut faire

      Que faire quand on en a marre de son travail ? Vous en avez assez de subir votre situation professionnelle et vous décidez qu’il est temps d’agir. Dire stop au stress au travail, à la boule au ventre le matin. Mais est-ce qu’il faut démissionner pour autant ? Dans cet article, découvrez comment prendre la bonne décision pour votre carrière.

      Déterminer la raison qui vous pousse à changer de travail

      déterminer la raison qui vous pousse à changer de travail
      déterminer la raison qui vous pousse à changer de travail

      En avoir marre de son travail, ça peut arriver à tout le monde. Parfois, ce mal-être n’est que périodique. Parfois, non.

      C’est pourquoi il est primordial de faire le point sur les raisons qui vous poussent à dire stop.

      Quel est réellement le problème ?

      • Est-ce l’ambiance sur le lieu de travail qui vous pèse ? Les relations avec vos collègues sont tendues, vous avez du mal à supporter la hiérarchie, le patron…
      • Est-ce le métier en lui-même ? Vous en avez marre de faire des tâches répétitives, probablement les mêmes depuis des années. Vous ne trouvez plus de sens à votre mission, vous n’êtes plus aligné avec votre emploi.
      • Est-ce la vision de l’entreprise ? Vos valeurs ne correspondent plus à celles de l’entreprise, vous n’êtes plus en adéquation avec ses objectifs.
      • Est-ce les horaires de travail ? Vous ne voulez plus passer votre temps dans les transports, vous n’arrivez pas à trouver un bon équilibre de vie professionnelle et personnelle.
      • Est-ce dû à un souci extérieur ? Vous êtes fatigué, déprimé, vous avez des problèmes personnels.
      • Avez-vous tout simplement un autre projet professionnel en tête ? Vous pensez faire une reconversion professionnelle, vous rêvez d’entreprendre et exercer le métier de vos rêves.

      Une fois que vous aurez défini précisément ce qui vous pose problème dans votre emploi actuel, vous serez plus en mesure de prendre une bonne décision.

      Votre envie de démissionner peut-elle s’arranger ou non ?

      Vous avez maintenant mis le doigt sur le ou les points sensibles. Avant de prendre la décision de changer de job, le mieux est d’essayer d’arranger la situation. À moins bien sûr que cela ne soit pas possible.

      Dans un premier temps, des congés de courte durée vous feront le plus grand bien. Vos vacances sont prévues pour bientôt ? Profitez-en pour y réfléchir sérieusement. Sinon, réservez un week-end rien que pour vous afin de faire le bilan.

      Ensuite, envisagez le dialogue avec l’employeur. Peut-être même qu’il ressent déjà votre mal-être. Il n’est pas nécessaire d’attendre un entretien annuel pour en parler, à moins que la date soit proche.

      Demandez une entrevue avec lui pour voir s’il peut améliorer la situation actuelle.

      • Un emploi du temps plus souple ?
      • De nouveaux outils de travail ?
      • Une organisation différente ?
      • Une augmentation de salaire ?
      • Une formation continue pour évoluer ?
      • Un changement de poste en interne ?

      Il suffit parfois d’un petit changement et la sensation d’être entendu pour retrouver la motivation au travail.

      Mais que faire lorsque le problème est plus profond et qu’il n’y a pas d’issue dans cette entreprise ?

      Vous devez passer à l’action !

      Passer à l’action et quitter son entreprise

      passer à l’action et quitter son entreprise
      passer à l’action et quitter son entreprise

      Partir de l’entreprise, oui mais comment ?

      Surtout pas en démissionnant sur un coup de tête !

      Il existe plusieurs possibilités pour quitter son job dans de bonnes conditions, dont certaines qui méritent votre attention.

      Vous pouvez mettre un terme définitif au contrat de travail ou décider de le suspendre en attendant de vous lancer.

      La rupture du contrat de travail

      • La démission : la méthode la plus logique en CDI mais qui n’est pas sans risque. Vous n’avez pas droit aux allocations chômage, sauf s’il s’agit d’une démission légitime. Vous devez aussi respecter le délai de préavis.
      • La rupture conventionnelle : un commun accord entre l’entreprise et le salarié. Vous pouvez partir en touchant vos indemnités. La méthode la plus sécurisée mais pas toujours acceptée par l’employeur.
      • L’abandon de poste : une alternative possible pour changer de boulot mais qui présente des risques pour le salarié. À privilégier en dernier recours.
      • La rupture suite à la faute de l’employeur : à envisager si l’entreprise ne respecte pas ses obligations. En sachant tout de même que le recours à la justice est une démarche fastidieuse.

      La suspension du contrat de travail

      • Le projet de transition professionnelle (PTP) : un moyen de se former tout en conservant son emploi actuel. Vous devez demander l’autorisation à votre employeur pour prendre ce congé.
      • Le congé sans solde : si votre employeur est d’accord, vous pouvez suspendre temporairement votre contrat pour prendre le temps de réfléchir à votre avenir professionnel. Certains salariés en profitent pour voyager ou découvrir d’autres secteurs d’activités professionnelles. Cependant, cette pause n’est pas rémunérée.
      • Le congé sabbatique : dans la même lignée que le congé sans solde mais il est encadré par le code du travail. Une pause qui peut durer de 6 à 11 mois, non rémunérée.
      • Le congé pour création et reprise d’entreprise : une option intéressante pour se lancer dans l’entrepreneuriat en évitant les risques. Vous avez un an pour tester vos capacités à l’issue duquel vous devrez faire un choix.

      Vous voulez en savoir plus sur ces différentes options qui s’offrent à vous ? Découvrez toutes les conditions d’éligibilité, dont l’ancienneté, dans cet article : Comment quitter son travail intelligemment

      L’erreur à ne surtout pas faire en cas de mal-être au travail

      Le pire scénario lorsque l’on en a marre de son travail, c’est de ne rien faire et de choisir la politique de l’autruche. Autrement dit, vous essayez tant bien que mal d’enfouir votre stress chronique jusqu’à n’en plus pouvoir.

      Effectivement, c’est la solution la plus facile car vous ne sortez pas de votre zone de confort. Même si vous pensez à votre épanouissement professionnel, vous n’osez pas vous lancer.

      Cependant, vous courez parfois plus de risques en restant dans votre situation actuelle qu’en franchissant le cap. Des risques liés à votre santé mentale, à vos relations avec votre entourage, à votre bien-être en général, etc..

      Il est évident qu’à force d’attendre pour agir, vous ne serez plus en mesure de prendre une décision réfléchie. Votre envie de changer de poste sera toujours présente (sauf si vous avez évalué que ça pouvait éventuellement s’arranger). Un jour ou l’autre, vous devrez passer à l’action.

      3 conseils quand on en a marre de son travail

      3 conseils quand on en a marre de son travail
      3 conseils quand on en a marre de son travail

      Pour finir, voici 3 derniers conseils si vous n’avez plus envie d’aller au travail.

      1)   Ne rien décider “à chaud”

      Un conflit avec le supérieur hiérarchique, des heures supplémentaires non prévues, une prime pas accordée… c’en est trop pour vous.

      Vous vous sentez comme en équilibre sur le fil de votre vie professionnelle et un rien peut vous faire basculer.

      Dans ces moments-là, il est tentant d’envoyer tout valser. Est-ce la bonne solution ? Non !

      Ne prenez pas de décision “à chaud”, sous le coup de la colère. Vous risqueriez de le regretter.

      2)   Prendre le recul nécessaire pour sortir la tête de l’eau

      Votre mal-être au travail vous prend toute votre énergie. Vous y pensez le jour et la nuit, quitte à faire des insomnies.

      Vous avez besoin de décompresser, de prendre du plaisir dans une autre activité. Profitez-en pour vous ressourcer. Vous aurez ainsi les idées plus claires pour avancer.

      3)   Accepter de se faire aider

      Enfin, ne restez pas seul ! Parlez-en autour de vous pour :

      • vous décharger de cette souffrance au travail
      • avoir des retours d’expérience et des avis
      • trouver des solutions pour vous épanouir professionnellement

      Vous pouvez vous tourner vers un ami, un ancien collègue, un conseiller, etc..

      N’hésitez pas à demander un bilan de compétences pour faire le point sur votre situation. Vous avez même le droit de le faire sur votre temps de travail si vous le souhaitez. Et si vous préférez rester discret, sachez qu’il est éligible CPF.

      À lire aussi : Marre de votre job ? Changez d’air avec le bilan de compétences.

      Marre de votre travail ? Ne restez pas comme ça en espérant que la situation s’arrange seule. Commencez par lister toutes vos frustrations et déterminez les raisons de votre manque de motivation. S’il s’avère qu’il n’y a pas d’autres issues possibles que de quitter l’entreprise, anticipez votre départ grâce au bilan de compétences. Nos conseillers vous écoutent et répondent à toutes vos questions.

      Contactez-nous, parlons de votre projet de bilan de compétences

      Pas envie de reprendre le travail après son congé maternité, que faire ?

      En pleine période de congé maternité, avant ou après l’arrivée de bébé, vous n’avez plus envie de travailler. Cette période est un vrai chamboulement dans votre vie. Devenir maman, ce n’est pas rien ! Il est normal que vous ressentiez une perte de motivation pour votre travail, en plus de toutes les émotions qui vous traversent. Mais justement, comment savoir si votre ressenti est passager ou si vous avez un réel besoin de changer de métier ? Vous êtes complètement perdu. Ce dont vous êtes sûre, c’est que vous n’avez pas envie de reprendre le travail après le congé maternité. Alors, on fait quoi dans ce cas-là ? 

      Pourquoi vous n’avez pas envie de reprendre le travail après votre congé maternité ?

      pourquoi vous navez pas envie de reprendre le travail après votre congé maternité

      L’arrivée d’un enfant chamboule bien plus que la vie conjugale. C’est toute la vie de la femme qui doit être réorganisée (et sans conteste, celle de l’homme également).

      Il y a inévitablement un impact sur la carrière professionnelle d’une maman. Elle n’est plus aussi disponible qu’avant. Elle a de nouveaux impératifs, des imprévus et parfois, ça ne fonctionne pas avec l’employeur.

      Mais quand est-il lorsque c’est la jeune maman qui est réticente à retourner au travail après l’accouchement ? Pourquoi un tel sentiment survient ?

      Vous qui vivez en ce moment-même cette situation, voilà pourquoi la reprise du travail après la grossesse vous paraît si difficile.

      1 – L’envie de rester à la maison avec bébé

      Pendant les deux premiers mois de sa vie, vous êtes collée à lui. Sans oublier les 9 mois de grossesse précédents, bien au chaud dans votre ventre.

      Alors, lorsqu’il s’agit de reprendre le travail, votre cœur se serre. Pour vous, le faire garder, c’est comme si vous l’abandonniez.

      En plus de ce sentiment de culpabilité, il y a la fatigue des nuits courtes et les hormones qui vous jouent des tours. Et si vous n’arriviez pas à gérer travail et vie de maman ?

      2 – Un besoin de redonner du sens à sa vie

      Vous faites une longue pause pendant votre congé maternité. La durée du congé maternité est de seize semaines (pour une salariée), cela laisse le temps de réfléchir ! Votre rythme de vie n’est plus aussi soutenu et ça laisse inévitablement place à la remise en question.

      Depuis combien de temps n’avez-vous pas fait le point sur vos envies et vos besoins ? Cette coupure vous pousse à revoir vos priorités jusqu’à songer à une éventuelle reconversion professionnelle.

      Vous avez plus que jamais à cœur de respecter vos valeurs professionnelles et personnelles.

      • Le métier que vous exercez répond-il vraiment à vos attentes ?
      • Êtes-vous alignée avec ce que vous faîtes chaque jour ?
      • Quelle est votre motivation profonde dans ce poste que vous occupez ?
      • Êtes-vous fière de votre travail ?
      • Quelles valeurs voulez-vous inculquer à votre enfant vis-à-vis de votre métier ?
      • Votre salaire est-il suffisant pour vos nouveaux besoins et ceux de votre enfant ?

      De toute évidence, ce congé maternité est une occasion en or pour repartir sur de nouvelles bases et enfin trouver votre voie professionnelle. Après tout, c’est un peu comme une seconde vie !

      3 – Une nouvelle organisation nécessaire

      L’organisation peut aussi expliquer pourquoi vous n’avez pas envie de reprendre le travail après le congé maternité. Cela est d’autant plus vrai si vos horaires de travail ne sont pas compatibles avec une vie de famille.

      • Qui va s’occuper de votre bébé le matin ?
      • Comment trouver un mode de garde le week-end pendant que maman et papa travaillent ?
      • N’est-ce pas plus rentable de rester à la maison pour s’occuper de son bébé ?
      • Trouver une crèche ou une nounou qui accepte ces horaires, est-ce possible ?
      • Est-ce qu’une activité avec la possibilité de télétravailler ne serait pas plus adaptée ?

      Et puis de toute façon, vous avez envie de voir grandir votre enfant. Si vous reprenez le travail, vous savez que ce besoin sera difficilement comblé.

      Ne plus vouloir travailler en fin de congé maternité : 3 issues possibles

      ne plus vouloir travailler en fin de congé maternité 3 issues possibles

      Alors concrètement, comment faire quand on ne veut plus travailler après un congé maternité ? Ou du moins, plus dans les mêmes conditions qu’avant.

      Nous n’avons pas 36 solutions à vous proposer, mais 3. Et les voici.

      1 – Reprendre le travail à temps plein ou temps partiel

      La logique veut que vous retrouviez votre poste après votre congé maternité. Vous pouvez toujours accepter et voir par la suite. Après tout, il faut essayer. Vous pourriez peut-être retrouver l’envie d’aller au travail.

      Vous devez savoir aussi qu’un aménagement de travail est possible pour les jeunes parents. Vous pouvez demander un temps partiel à votre employeur. Vous devez alors soit revoir votre contrat de travail, soit prendre un congé parental à temps partiel.

      Explications ci-dessous.

      2 – Demander un congé parental

      Vous voulez réduire votre temps de travail après bébé, voire arrêter ? C’est possible en demandant un congé parental total ou à temps partiel (entre 16 et 32 heures de travail par semaine).

      Vous devez avoir au moins un an d’ancienneté dans l’entreprise et un enfant de moins de 3 ans.

      Votre employeur ne peut pas refuser mais il peut imposer des jours de travail.

      Pour bénéficier de cet aménagement, vous devez avertir l’employeur en temps et en heure :

      • 1 mois avant la date de reprise si vous prenez le congé parental juste après le congé maternité.
      • 2 mois avant le début du congé parental si vous décidez de le prendre plus tard (toujours avant les 3 ans de l’enfant).

      En ce qui concerne la rémunération, votre salaire est proportionnel au nombre d’heures effectuées.

      Sachez que vous disposez d’une aide financière de la CAF : la prestation partagée d’éducation de l’enfant (PreParE), anciennement le complément de libre choix d’activité. Elle vient compenser la perte de salaire chaque mois.

      En savoir plus sur l’allocation familiale PreParE.

      Si vous n’avez toujours pas envie de reprendre le travail après le congé parental, que vous pouvez vous le permettre financièrement et que ce projet vous importe, vous pouvez tout à fait devenir mère au foyer.

      3 – Changer de métier

      Il se peut que l’arrivée de votre nouveau-né soit l’élément déclencheur d’un changement de vie. Vous n’aimez plus votre travail et vous voulez quitter l’entreprise. Vous voulez exercer un métier en accord avec vos valeurs et surtout, trouver un équilibre vie pro-vie perso.

      À ce stade, vous vous posez tout un tas de questions autour de votre avenir professionnel.

      • Dans quel ordre procéder ?
      • Dois-je démissionner, me faire licencier ou demander une rupture conventionnelle ?
      • Dans quel secteur d’activité m’orienter ? Vers quel métier ?
      • Et si je me lançais dans l’entrepreneuriat après mon congé maternité ?

      Pour y voir plus clair dans votre carrière, le mieux reste de vous faire accompagner.

      Le bilan de compétences, la meilleure solution pour gérer l’après congé maternité

      le bilan de compétences la meilleure solution pour gérer laprès congé maternité

      Le bilan de compétences est l’outil idéal pour trouver des réponses à vos questions.

      Avec l’aide d’un consultant ou d’un coach, vous ferez le point sur vos aptitudes, vos compétences, mais aussi sur vos envies, vos besoins, vos priorités. Vous pourrez ainsi vous poser les bonnes questions pour avancer dans la bonne direction.

      Le bilan de compétences est encadré par le Code du Travail et respecte toujours 3 phases :

      • La phase préliminaire pour étudier votre parcours et adapter le bilan en fonction de votre situation.
      • La phase d’investigation pour entrer dans les détails et commencer à construire votre projet professionnel.
      • La phase de conclusion pour préparer les changements à venir.

      Ce bilan dure 24 heures maximum, étalé sur plusieurs semaines. Il est finançable par le CPF, jusqu’à 0 € de reste à charge.

      Il est possible de faire un bilan de compétences pendant son congé maternité. Dans ce cas, l’employeur n’a pas à en être informé. Et pour encore plus de flexibilité, vous pouvez opter pour un bilan à distance !

      En conclusion, inutile de culpabiliser si vous n’avez pas envie de reprendre le travail après le congé maternité. Les femmes enceintes et jeunes mères ont d’autres priorités.

      Que vous décidiez de devenir mère au foyer ou de reprendre une activité, c’est vous qui décidez.

      Choisissez parmi nos différentes formules de bilans de compétences, nous nous engageons à répondre au mieux à votre besoin.

      Contactez-nous, parlons de votre projet de bilan de compétences

      Vivre de sa passion, est-ce possible ?

      Vivre de sa passion, rêve ou réalité ? Lorsque l’on a une passion dans la vie, trouver un métier en adéquation avec celle-ci est une évidence. Mais est-ce réellement possible de combiner passion et travail ? Est-ce la clé de l’épanouissement professionnel ? N’y a t-il pas d’autres alternatives pour trouver sa voie ? Vous verrez dans cet article que même si faire de sa passion son métier est possible, ce n’est pas forcément la seule option.

      OUI, vivre de sa passion, c’est possible !

      oui, vivre de sa passion, c’est possible ! bilan de compétences

      On entre tout de suite dans le vif du sujet en répondant à votre question : oui, il est tout à fait possible de vivre de sa passion. Ce n’est pas un rêve inaccessible.

      On pense à tort que la passion est censée rester un loisir et que le travail est synonyme de pénibilité. La première permettant ainsi de se déconnecter du deuxième. Ces deux notions seraient donc incompatibles. 

      Pourtant, il s’agit d’une croyance infondée puisée dans votre éducation, vos expériences et la société. 

      Avoir une passion dans la vie est une piste intéressante pour choisir le métier qui vous correspond. Cela semble plus facile pour trouver sa voie.  

      Vous êtes passionné de musique ? Sans forcément monter sur scène devant une foule admirative, vous pouvez combiner travail et passion de manière détournée.

      Vous pouvez devenir :

      • Professeur de musique
      • Coach
      • Compositeur
      • Ingénieur du son
      • Organisateur d’événements, etc.

      Vous avez également le choix d’être salarié ou indépendant, en solo ou en équipe. 

      Il suffit d’être curieux et d’effectuer quelques recherches. La liste des métiers est longue et il en existe beaucoup dont vous ne soupçonnez même pas l’existence.

      De plus, une reconversion professionnelle est toujours possible, quel que soit l’âge

      Pour ce qui est des passions hors du commun, le processus est le même. 

      Vous ne voyez pas comment vous pourriez être payé grâce à votre amour pour les grenouilles ? Menez vos investigations, vous pourriez être surpris.

      En revanche, il ne suffit pas d’être passionné par un domaine pour aimer son métier en lien avec celui-ci. Explications juste en-dessous.

      Exercer un métier passion n’est pas synonyme d’épanouissement professionnel

      exercer un métier passion n’est pas synonyme d’épanouissement professionnel

      Prenons un exemple :

      Votre passion pour les animaux vous dirige vers le métier de vétérinaire, éleveur, pet sitter, toiletteur, vendeur en animalerie, etc. Or, ce sont des métiers complètement différents.

      Ce n’est pas parce que vous êtes un passionné que vous serez épanoui dans un travail lié à ce domaine.

      Tellement d’autres critères entrent en jeu ! Les tâches à accomplir, le management, le lieu de vie professionnel, l’ambiance générale, les horaires, etc..

      Par ailleurs, la passion est un état émotif qui domine le mental. Elle nous amène à faire des sacrifices et peut être un réel danger dans la carrière professionnelle.

      Avoir une passion comme hobby est une chose. Vivre de sa passion en est une autre.

      En tant que salarié, vous avez des contraintes.

      En tant qu’entrepreneur, vous devez transformer cette passion en business.

      Vous pouvez rencontrer des difficultés à être rémunéré correctement car vous considérez le travail comme un passe-temps.

      Dire non, savoir équilibrer la vie professionnelle et personnelle, avoir des ambitions de carrière… ce sont autant de challenges qu’un passionné par le travail devra relever.

      Notons aussi que la passion nous pousse à porter des œillères sur le monde qui nous entoure. Nous ne jurons que par ce métier passion.

      Que se passerait-il si le plan ne fonctionnait pas comme prévu ?

      Au contraire, une personne n’ayant aucune passion dans la vie sera plus ouverte aux opportunités. Elle sera plus flexible et suivra plus facilement l’évolution des métiers.

      De toute évidence, vivre de sa passion n’est pas donné à tout le monde. En réalité, il suffit d’interroger les passants dans la rue pour se rendre compte que peu d’entre eux ont une passion.

      Sont-ils pour autant moins épanouis professionnellement ? Non.

      Le mot passion est fort et souvent employé à tort. Il serait plus juste de parler de fort centre d’intérêt.

      Vous n’êtes donc pas obligé d’avoir une passion dans la vie, des centres d’intérêts suffisent. Et là, ça change tout !

      Découvrir ses centres d’intérêts pour en faire une vocation

      En parlant de centres d’intérêts, on s’enlève déjà une grosse pression, celle de trouver sa passion.

      Qu’est-ce qui vous attire ? Qu’est-ce que vous aimez faire pendant votre temps libre ? Qu’est-ce qui vous procure du plaisir au quotidien ?

      Il est beaucoup plus facile de répondre à ces questions.

      De vos réponses naîtra votre vocation. Vous ne serez plus envahi par une passion dévorante, mais bel et bien aligné entre ce que vous êtes et ce que vous accomplissez chaque jour.

      L’objectif à présent est de trouver le bon équilibre entre plaisir et travail.

      En d’autres termes, trouver sa voie professionnelle (lien vers 1er article) avec un métier qui vous procure des émotions fortes, à l’image de la passion.

      3 conseils pour faire de sa passion son métier

      3 conseils pour faire de sa passion son métier

      Que vous ayez une réelle passion ou un intérêt certain dans un domaine, votre objectif est d’en vivre.

      Vous voulez réussir votre reconversion dans un métier passion ? Suivez nos 3 conseils.

      1 – Bien préparer le projet

      Comme dans toute reconversion professionnelle, la préparation du projet est la partie immergée de l’iceberg. Vous entrez dans la phase d’introspection.

      Pour étudier la faisabilité de ce projet, rien ne vaut ces outils :

      • Le bilan de compétences : un test en 3 grandes étapes qui étudie vos connaissances, vos expériences, vos centres d’intérêts et plus encore. C’est une étape fondamentale lorsque l’on souhaite changer de métier et s’assurer de la faisabilité du projet.
      • L’ikigai : une méthode japonaise pour aider à trouver son métier idéal. L’équilibre parfait entre ce que vous aimez faire, ce pour quoi vous êtes doué, ce dont le monde a besoin et ce pour quoi vous pouvez être payé.
      • Le “Pourquoi” : une méthode créée par Simon Sinek et appelée aussi “méthode Why”. Elle consiste à se poser la question : pourquoi vous faites ce que vous faites ? Quelle est votre motivation profonde ? Pourquoi vivre de sa passion est-il si important pour vous ?

      2 – Se former si besoin

      Vivre de sa passion ne veut pas dire se lancer les yeux fermés. Ce conseil est valable si vous voulez entreprendre

      En tant que chef d’entreprise, vous devez être multifonctions. Vous maîtrisez peut-être la création de bijoux mais pas le marketing digital.

      Vous devez donc passer par la case formation pour réussir votre projet professionnel.

      3 – Ne pas idéaliser le métier

      Gagner de l’argent avec sa passion, ça fait rêver. Mais il faut savoir aussi garder les pieds sur terre et ne pas idéaliser ce métier.

      Ne mettez pas la barre trop haute et sachez rebondir en cas d’échec.

      À ce propos, il n’y a pas d’échecs, il n’y a que des expériences.

      Si votre métier passion ne vous donne pas entière satisfaction, ouvrez-vous à de nouveaux horizons.

      En conclusion : oui, il est possible de vivre de sa passion, mais ce n’est qu’un critère de l’épanouissement professionnel parmi tant d’autres. Ce n’est pas forcément la meilleure idée pour gagner de l’argent. En revanche, il est préférable de faire le point sur ses centres d’intérêts pour trouver sa vocation.

      Le bilan de compétences sera donc la prochaine étape pour vous mener vers votre métier idéal. En fonction de votre situation, vous pouvez bénéficier du financement de votre bilan de compétences.

      Contactez-nous, parlons de votre projet de bilan de compétences


        Comment changer de travail : ce que vous devez faire

        Votre travail ne vous convient plus ? Vous avez envie de changer de métier ? Une reconversion professionnelle n’est jamais évidente à préparer. On ne sait pas comment s’y prendre, ni vers quel secteur d’activité s’orienter. Avec cela, il y a la peur de manquer d’argent et celle de l’échec. Cela explique pourquoi 40 % des Français qui songent à se reconvertir n’osent pas franchir le cap. Et ce, même si nos choix ne sont jamais définitifs. Alors, comment trouver sa voie professionnelle ? Quelles actions mettre en place pour réussir sa reconversion ? Découvrez tous nos conseils dans cet article.

        Trouver sa voie professionnelle, ce n’est pas définitif

        trouver sa voie professionnelle ce nest pas définitif bilan de compétences

        Trouver sa voie professionnelle, c’est un peu le Saint Graal, l’assurance de faire un métier épanouissant jusqu’à la retraite. 

        Il y a une grosse pression autour de ça, comme si c’était synonyme de réussite dans la vie. Alors on cherche, on essaie, on y croit, on se remet en question jusqu’au moment où le constat arrive : vous n’êtes plus en phase avec votre travail. 

        Que faire de sa vie ? Continuer ainsi dans le déni et ne pas être heureux au travail ? Ou bien prendre sa carrière en main et se lancer dans une reconversion professionnelle ? 

        Vous avez choisi la deuxième option. Et vous savez quoi ? Vous avez raison

        Le monde évolue, les métiers changent et vous également. La vie à laquelle vous aspiriez il y a quelques années n’est plus forcément la même aujourd’hui. 

        Vous n’avez plus les mêmes besoins, les mêmes envies. Il est donc normal que vous ayez envie d’évoluer professionnellement. 

        Cela passe parfois par un changement de poste au sein de l’entreprise. Parfois aussi, vous ressentez le besoin d’effectuer un virage plus important dans votre vie professionnelle

        Rappelez-vous : rien n’est définitif. Il y aura probablement d’autres changements dans le futur.

        Oubliez vos croyances limitantes avant de changer de métier

        Vous éprouvez des difficultés à trouver votre voie professionnelle ? Commencez donc par oublier vos croyances limitantes. Vous savez, ces phrases que vous pensez vraies et qui sont ancrées dans votre tête depuis toujours (ou presque). 

        Vous avez construit ces croyances en fonction de votre éducation, vos expériences passées, la société

        Aujourd’hui, elles vous empêchent d’avancer et de réaliser vos rêves. C’est le moment de vous défaire de ces croyances.

        • Je n’ai pas assez de connaissances
        • Je n’ai plus l’âge de me reconvertir professionnellement
        • Je n’ai pas le profil d’un entrepreneur
        • Le monde du travail est un monde de requins
        • Il faut être pistonné pour trouver un travail intéressant
        • Il faut une passion pour trouver sa voie professionnelle
        • Le travail, c’est dur, etc.

        En réalité, il y a toujours une peur derrière les croyances limitantes. D’où l’intérêt de savoir les identifier pour les affronter.

        À partir de là, vous devez agir en suivant la méthode des petits pas. Jour après jour, réalisez des petites actions et sortez de votre zone de confort. 

        Vous sortirez progressivement ces pensées de votre esprit pour laisser place à de nouvelles, plus stimulantes, inspirantes et positives. 

        Entamez la phase d’introspection pour trouver le métier qui vous correspond

        entamez la phase dintrospection pour trouver le métier qui vous correspond

        La phase d’introspection, c’est la capacité à regarder à l’intérieur de soi

        C’est le fait d’analyser ses ressentis, ses comportements, ses émotions afin d’en tirer des leçons. Essentiel pour mieux se connaître et aller dans la bonne direction.

        Prendre le temps de la réflexion est donc fondamental si vous voulez réussir cette étape. 

        Posez-vous les bonnes questions :

        • Pourquoi ai-je envie de changer de métier ?
        • Depuis quand ça dure ?
        • Qu’est-ce qui ne me convient plus à l’heure actuelle ?
        • Qu’est-ce que je ressens au fond de moi avant d’aller au travail ?
        • Qu’est-ce qui me motive vraiment ?
        • De quoi ai-je envie ?
        • Qu’est-ce que ça veut dire pour moi, réussir sa vie ? Etc.

        Notez toutes vos réponses à l’écrit pour en garder la trace. 

        Une fois ce travail réalisé, trouvez des verbes d’action représentatifs de ce que vous avez écrit. 

        Cela peut être :

        • Apprendre
        • Conseiller
        • Contrôler
        • Étudier
        • Découvrir
        • Diriger, etc.

        Et maintenant ? Trouvez des métiers qui correspondent à ces verbes. 

        Pour le verbe “conseiller”, on pense à :

        • Conseiller d’orientation
        • Coach
        • Consultant
        • Conseiller en image
        • Décorateur d’intérieur
        • Vendeur
        • Éducateur, etc.

        Ne bâclez pas la phase d’introspection, c’est une des étapes les plus importantes pour choisir sa voie professionnelle.

        Étudiez la faisabilité du projet pour réussir votre reconversion professionnelle

        Jusqu’ici, vous avez réfléchi seul dans votre coin. Il va maintenant falloir passer à l’étape supérieure en réalisant une vraie étude de marché. 

        Vous devez vous assurer que le projet de reconversion est fiable et réaliste. 

        À noter : cette étape n’est pas nécessaire si vous choisissez un bilan de compétences de qualité qui comprend cette étude de faisabilité. Nous le verrons plus bas dans l’article.

        Ici, nous partons du principe que vous devez effectuer seul vos recherches. 

        Alors, comment procéder ?

        Commencez par vous renseigner sur les métiers que vous avez identifiés, comme si vous faisiez votre étude de marché.

        • Quelle est l’offre et la demande pour ce secteur d’activité ?
        • Est-ce un secteur porteur ?
        • Quelles sont les entreprises ?
        • Quelle est la rémunération moyenne ?
        • Comment se former ? Etc.

        Si c’est possible, trouvez un moyen de tester le métier, en faisant un stage par exemple.

        Ensuite, contactez des personnes du milieu professionnel et échangez avec elles. L’objectif est d’avoir leur retour et un maximum d’informations sur le métier.
        Pour finir, vérifiez la compatibilité du métier avec votre mode de vie : lieu géographique, contraintes horaires, rémunération, etc..

        Réalisez un bilan de compétences : l’outil idéal pour trouver sa voie professionnelle

        Dernière étape qui vous permettra de concrétiser votre projet de reconversion : le bilan de compétences. 

        Le bilan de compétences est un excellent outil pour faire le point sur sa carrière, ses compétences, ses forces et ses faiblesses. Peu importe le stade où vous en êtes dans votre réflexion, un bilan est toujours utile à réaliser. 

        À l’issue du bilan, vous aurez devant vous des perspectives d’évolution professionnelle envisageables. 

        Dans la majorité des cas, cet accompagnement se déroule en 3 grandes étapes :

        • La phase préliminaire avec l’analyse de votre parcours.
        • La phase d’investigation avec l’identification de vos connaissances et l’élaboration de votre futur projet professionnel.
        • La phase de conclusion avec la mise en place d’actions concrètes pour mieux vous lancer.

        Vous êtes suivi pendant plusieurs semaines avec des entretiens personnalisés qui varient entre 5 et 24 heures au maximum.

        Tout dépend de vous, de vos besoins et du prestataire que vous choisissez. 

        Le critère de choix n°1, c’est de trouver un bilan de compétences le plus adapté à votre situation.

        Bonne nouvelle : on peut vous aider pour le financement du bilan de compétences. Que vous soyez salarié du secteur privé, de la fonction publique ou demandeur d’emploi, vous pouvez le faire à moindre frais. 

        Trouver sa voie professionnelle demande du temps et une certaine connaissance de soi. Le métier de nos rêves est rarement celui que nous avons à la sortie des études. Ce qui compte, c’est d’être en phase avec son travail à l’instant présent, sachant que tout peut évoluer.

        Vous êtes décidé à passer à l’action ? Découvrez l’offre la plus adaptée à votre besoin sur Mon Bilan de Compétences.

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